aboyer — [ abwaje ] v. intr. <conjug. : 8> • abaier XIIe; lat. pop. °abbaudiare, de baudari 1 ♦ Pousser son cri, en parlant du chien. ⇒ glapir, hurler, japper. PROV. Chien qui aboie ne mord pas : les personnes qui menacent et manifestent leur colère … Encyclopédie Universelle
aboyeur — aboyeur, euse [ abwajɶr, øz ] n. • abayeur 1387; fém. 1843; de aboyer 1 ♦ N. m. Chien qui aboie. Spécialt (Chasse) Chien qui aboie sans attaquer le gibier. 2 ♦ N. m. (XVIIIe) Anciennt Crieur à l entrée d une salle, qui annonce le spectacle. ⇒… … Encyclopédie Universelle
agrippeur — ⇒AGRIPPEUR, EUSE, subst. et adj. I. Emploi subst., vx, fam. Celui, celle qui a l habitude de saisir avec avidité. Rem. Signalé ds Ac. Compl. 1842 (subst. masc. infra étymol.) et repris (masc. et fém.) par BESCH. 1845, Nouv. Lar. ill., Lar. 20e,… … Encyclopédie Universelle
aboyer — (a bo ié et a boi ié ; la prononciation varie. L y se change en i quand un e muet suit : il aboie ; il aboiera. Il faut un y et un i pour l imparfait, nous aboyions, vous aboyiez, et le présent du subjonctif, que nous aboyions, que vous aboyiez.… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
rendre — Rendre, Tantost signifie restituer, Reddere, Restituere. Comme rendre ce qu on a emprunté, Mutuum aut Commodatum reddere. Tantost representer et remettre, Referre. Comme, Rendre la pareille, Par pari referre, Paria facere, Parem gratiam… … Thresor de la langue françoyse